http://www.focolari.fr/2015/01/22/a-cannes-le-prix-chiara-lubich-pour-la-fraternite/
Une délégation de 13 membres du Vivre Ensemble à Cannes, chrétiens, musulmans, bouddhistes, accompagnés de l’adjoint au maire de la Ville de Cannes, prenait l’avion pour Rome le samedi 17 janvier dernier pour recevoir le prix «Chiara Lubich pour la Fraternité», prix international organisé par l’Association italienne «Villes pour la Fraternité». 
Ce concours s’adressait aux villes qui développent «des habitudes de fraternitéuniverselle», «stimulent les citoyens à s’engager pour le bien commun» et «favorisent la croissance d’une culture de la citoyenneté». Cannes venait en tête du palmarès pour avoir initié et soutenu le projet VEAC, «Vivre Ensemble à Cannes ».
C’est dans une des salles prestigieuses du Palais sénatorial, sur la célèbre place du Capitole, que la ville de Cannes et son association « Vivre ensemble à Cannes » ont reçu ce prix des mains du représentant du maire de Rome et de la Présidente de l’Association «Villes pour la Fraternité», maire de Castelgandolfo. Le thème de la Fraternité comme élément indispensable aux deux autres emblèmes de la France que sont la liberté et l’égalité, devait être largement évoqué lors de la table ronde qui précédait la remise du prix. Un texte écrit par Chiara Lubich juste après les attentats du 11 septembre 2001 prenait des allures prophétiques en se faisant l’écho des évènements récents en France.
Durant ces 24 heures, notre diversité et notre fraternité parlaient d’elles-mêmes, faisant se côtoyer dans des couleurs et des tenues diverses un Lama bouddhiste, un père Abbé cistercien, un prêtre catholique, un recteur de mosquée…
Le 18 Janvier au matin, ayant appris l’ouverture de la cause de béatification de Chiara Lubich, tous les membres de la délégation cannoise ont souhaité se rendre au centre des Focolari à Rocca di Papa pour se recueillir sur sa tombe. Ce fut un moment très fort, ou chacun a pu percevoir la grandeur de son charisme.
Une magnifique aventure…
Véronique Francou et Claire Ribet
